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L’estime de soi

Le rôle de l’hypnose dans la recherche d’une saine estime

S’estimer ne signifie pas être parfait. Une erreur fréquente est en effet de croire que nous nous aimerons enfin lorsque nous aurons corrigé tous nos défauts. L’hypnose, certaines technique de pleine conscience, la résolution de conflits internes sont autant d’outils pour nous accepter tels que nous sommes, sans renoncer à progresser.

internal family system

Seul un petit nombre de personnes atteintes du syndrome du côlon irritable présentent des symptômes graves. Certaines personnes peuvent contrôler leurs symptômes en gérant leur alimentation, leur mode de vie et leur stress. Les personnes exposées à des événements stressants, en particulier dans l’enfance, ont tendance à présenter davantage de symptômes du syndrome du côlon irritable.

L’hypnose, l’EMDR, les thérapies de pleines consciences, l’internal family system et la résolution des mémoires traumatiques vont être autant d’outils à considérer dans le champs de l’accompagnement qui dans le cas de l’intestin irritable va souvent s’engager dans un travail de fond.

Séance individuelle

– 1h30 –

Bordeaux, Le Bouscat

José Colleatte

José Colleatte

José Colleatte
Ma vision de l’hypnose
Mon code de déontologie

Vous souffrez d’un déficit d’image, Vous habitez Bordeaux ou sa région, je vous accueille au cabinet médical du 118 au Bouscat.

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L'estime de soi

quelle valeur ai-je sous le regard de l’autre ?

L’estime de soi est un concept omniprésent dans les discours sur le bien-être et la psychologie contemporaine. En effet, depuis plusieurs décennies, la société met en avant l’importance de l’estime de soi. Des livres, des conférences, des formations entières sont dédiés à cette notion, comme si elle représentait la clé ultime du bien-être. Présentée comme une clé du développement personnel, les recherches récentes montrent que cette quête est souvent vaine, souvent contre-productive, voire une source de souffrance supplémentaire.

Si l’estime de soi se présentait comme un simple indicateur de bien-être, alors il suffirait de la renforcer pour résoudre bien des difficultés. Or, il s’avère que cette construction psychique est bien plus complexe et que sa stabilité ne repose pas uniquement sur une affirmation positive de soi. Dès lors, comment comprendre véritablement l’estime de soi ? Pourquoi tant de personnes peinent à l’ancrer durablement ? Et surtout, quelles approches peuvent réellement aider à transformer la relation que nous entretenons avec nous-mêmes ?

L’estime de soi ne devrait pas être une quête extérieure, mais une régulation interne. Plutôt que d’essayer d’atteindre un niveau élevé et constant d’estime, il est plus pertinent d’apprendre à être en paix avec soi-même, indépendamment des fluctuations naturelles de la vie. C’est là qu’interviennent différentes approches, permettant de transformer notre rapport à nous-mêmes en l’enracinant dans une compréhension plus profonde de notre fonctionnement.

Souvent le fruit d’une éducation difficile, de dysfonctionnement familiaux, dans une époque de plus en plus maltraitante, il devient difficile de trouver ses grands équilibres. c’est bien souvent un travail de fond qui va s’engager afin de remettre du mouvement dans votre vie, d’apaiser les tensions, retrouver le calme et la possibilité d’une mise en mouvement qui vise votre équilibre et vos désirs de réalisation. Nous avançons toujours à votre rythme, nous ne forçons jamais rien en séance, dans le respect de qui vous êtes et de vos valeurs. Et si notre travail peut trouver un effet thérapeutique, je ne suis pour autant ni médecin, ni psychiatre, ni psychologue. Je vous accompagne afin de résoudre un flux émotionnel qui peut vous bloquer ou au contraire vous obliger à être toujours en mouvement… J’aurais plaisir à vous accompagner afin que vous puissiez retrouver l’équilibre dont vous avez besoin et de quelquefois enfin pouvoir entretenir un peu de douceur envers vous-même…

Paradoxe de l’estime de soi

Nous observons un certains nombre de paradoxes intéressants à propos de l’estime de soi.

Le biais d’auto-satisfaction

les études sociologiques montrent que la plupart des individus se considèrent comme étant légèrement meilleurs que la moyenne. Ce phénomène, connu sous le nom d’effet “above-average” ou “biais d’auto-complaisance”, a été largement documenté par Alicke et Govorun (2005). Ils ont démontré que 90% des conducteurs pensent être plus prudents que la moyenne.C’est un biais cognitif répandu.
Néanmoins, ce biais d’autosatisfaction est superficiel. En effet, comme l’explique Morris Rosenberg (un sociologue et chercheur américain qui a développé l’échelle d’estime de soi de Rosenberg en 1965, devenue un standard dans la recherche), ce paradoxe s’explique par la différence entre l’estime de soi explicite (celle que nous déclarons) et l’estime de soi implicite (celle qui guide inconsciemment nos comportements).

Les limites de l’approche traditionnelle

Nombre d’entre nous souffrent intimement d’un sentiment d’insuffisance, et le plus troublant est que de comprendre intellectuellement l’origine de nos difficultés ne suffit généralement pas à les résoudre. Comme l’exprimait Jules Renard : « d’expérience en expérience, j’en arrive à la certitude que je ne suis fait pour rien ». Cette souffrance, cette dévalorisation que tant de personnes portent en elles, persiste souvent malgré la conscience de ses racines.

Depuis les années 1970, l’amélioration de l’estime de soi est devenue un objectif thérapeutique central. Pourtant, comme le souligne Ilios Kotsou dans son livre “L’éloge de la lucidité”, cette quête présente plusieurs écueils fondamentaux.  Les tentatives d’amélioration directe de l’estime de soi produisent généralement des résultats décevants. Il semblerait que seules les personnes ayant déjà une bonne image d’elle-même améliore leurs propres estime d’elles-même… un comble et un aveu d’échec patenté puisque si les techniques classiques (affirmations positives, visualisation, pensée positive) ne fonctionnent paradoxalement que chez ceux qui vont déjà bien. Wood et ses collègues dans une publication de 2009 ont démontré que ces mêmes techniques peuvent même diminuer l’estime de soi chez les personnes qui en manquent déjà.

Pa ailleurs, une estime de soi élevée mais fragile peut être associée à l’agressivité, au narcissisme et à une diminution de l’empathie. Autant dire que ces simples éléments, remettent en question l’approche qui consiste à viser directement l’augmentation de l’estime de soi comme objectif d’accompagnement principal.
La véritable alternative se trouve dans l’auto-compassion et dans une bienveillance envers soi-même. Il s’agit non pas de se convaincre que l’on est “quelqu’un de bien”, mais d’accepter ses imperfections, de reconnaître ses erreurs sans s’y enfermer et d’apprendre à se traiter avec douceur.
Plutôt que d’entrer dans une lutte pour booster son estime de soi à tout prix, l’enjeu est de prendre soin de soi, cultiver la douceur et adopter un regard lucide mais bienveillant sur son propre parcours. Cela signifie accueillir ses échecs, ses fragilités, sans jugement ni culpabilité, mais aussi reconnaître ses réussites sans exagération ni besoin de validation extérieure.En d’autres termes, il ne s’agit pas tant d’”être bien avec soi-même” que d’être en paix avec soi-même.

Les racines profondes du déficit d’estime de soi

Le conditionnement social comme facteur déterminant

Notre rapport à nous-mêmes se construit largement à travers le prisme de notre éducation et de notre environnement social. Comme le souligne Marshall Rosenberg, fondateur de la Communication Non Violente (CNV), notre éducation traditionnelle repose souvent sur un système de jugements et d’injonctions externes : “Fais ceci”, “ne fais pas cela”, “sois sage”, “ne sois pas égoïste”.
Ces messages, intériorisés dès l’enfance, nous déconnectent progressivement de nos besoins fondamentaux, notamment du besoin d’importance identifié par Tony Robbins comme essentiel à l’équilibre psychologique. Ce besoin inclut le sentiment d’être unique, d’avoir de la valeur, d’être reconnu.
Paradoxalement, notre conditionnement social nous apprend souvent à minimiser, voire à nier ce besoin d’importance. Cette suppression culturelle crée une tension psychologique majeure : d’un côté, nous avons un besoin fondamental d’être vus et valorisés ; de l’autre, nous apprenons à considérer l’expression de ce besoin comme inappropriée ou égoïste.

Les multiples facteurs qui façonnent l’estime de soi

Au-delà du conditionnement social, plusieurs facteurs s’entremêlent dans la construction de l’estime de soi. Sans vouloir être exhaustif, nous pouvons nous axer sur ce qui est reconnu et étudié. Les études suggèrent qu’environ 30-50% de la variance dans l’estime de soi pourrait être attribuée à des facteurs héréditaires.
Un attachement sécure favorise une estime de soi solide, tandis que les styles d’attachement anxieux ou évitant sont associés à une estime de soi plus fragile.
Les expériences traumatiques vécues durant l’enfance ont un impact considérable sur la formation de l’estime de soi. Ces traumas peuvent conduire à deux manifestations apparemment opposées mais provenant de la même blessure : soit un repliement sur soi et une dévalorisation constante, soit une suraffirmation compensatoire et une façade de confiance excessive. Dans les deux cas, ces mécanismes représentent des tentatives d’adaptation à une blessure fondamentale.
Les succès et échecs, particulièrement durant l’enfance et l’adolescence, influencent durablement notre perception de notre valeur personnelle. Les messages reçus sur notre valeur, qu’ils soient explicites ou implicites, s’inscrivent profondément dans notre psyché.

Voir : Le traumatisme complexe

Comprendre ces facteurs permet de dépersonnaliser les difficultés d’estime de soi, ils réduisent ainsi la culpabilité et ouvrent la voie à un travail adapté. Cette compréhension révèle que nos problèmes d’estime de soi ne sont pas des défauts personnels mais des adaptations compréhensibles à notre histoire et à notre environnement, ce qui en soit est déjà un véritable vecteur de libération.

Comment accompagner les problématiques d’estime de soi

Vous l’avez bien compris, plutôt que de viser directement l’augmentation de l’estime de soi, plusieurs approches abordent cette problématique sous des angles complémentaires. Chacune offre des outils spécifiques pour transformer notre relation à nous-mêmes.

L’hypnose et l’estime de soi

L’hypnose est un outil puissant dans l’accompagnement des problématiques liées à l’estime de soi, car elle permet d’accéder directement aux représentations inconscientes qui façonnent notre image intérieure. L’image de soi n’est effectivement pas seulement une construction cognitive consciente mais aussi un ensemble de schémas inconscients profondément ancrés

Dès l’enfance, nous avons intériorisé des croyances sur notre valeur : celles issues de notre éducation, des jugements de nos proches, des expériences vécues. Certaines de ces croyances sont limitantes et continuent d’agir en arrière-plan, bien qu’elles n’aient plus lieu d’être. “Je ne suis pas à la hauteur”, “Je dois être parfait pour être aimé”, “Les autres sont mieux que moi” sont des croyances récurrentes que l’on retrouve chez de nombreuses personnes en quête d’une meilleure estime.

Grâce à l’état hypnotique, il devient possible d’explorer ces croyances et de les restructurer, en introduisant de nouvelles perspectives. Plutôt que de chercher à convaincre quelqu’un qu’il a de la valeur (ce qui peut générer un rejet intérieur si cette croyance est ancrée depuis longtemps), l’hypnose invite à expérimenter une autre réalité émotionnelle. Elle permet de reconnecter la personne à des ressources qu’elle possédait déjà mais qui étaient masquées par des filtres négatifs.

À travers des techniques comme la régression en âge, le recadrage d’expériences passées, l’ancrage de ressources et le dialogue avec les parties de soi, l’hypnose permet de transformer les croyances limitantes sur soi à leur source.

Voir : L’hypnose

La Communication Non Violente (CNV)

Si l’hypnose agit en profondeur sur les représentations inconscientes, la Communication Non Violente (CNV) intervient sur la manière dont nous nous parlons à nous-mêmes au quotidien.

Un des grands pièges du manque d’estime de soi réside dans l’auto-jugement constant. Une personne en difficulté avec son image intérieure entretient souvent un dialogue intérieur négatif, fait de critiques et d’auto-sabotage. “Je suis nul”, “Je ne mérite pas”, “Je n’y arriverai jamais” sont des phrases qui reviennent comme un disque rayé. Notre dialogue intérieur est souvent empreint d’une violence que nous ne tolérerions pas d’autrui.

La CNV propose de remplacer ce dialogue violent par une écoute des besoins sous-jacents. Derrière chaque pensée limitante se cache un besoin non satisfait. Par exemple, “Je suis nul” pourrait devenir “Je me sens frustré parce que j’ai besoin de reconnaissance pour mes efforts”. Cette simple reformulation transforme radicalement l’expérience émotionnelle. Elle désactive la charge négative du jugement pour la replacer dans une démarche plus constructive.

Une pratique régulière d’auto-empathie selon les principes de la CNV permet progressivement de développer un dialogue intérieur plus tranquile et de reconnaître comme légitimes nos besoins d’importance et de reconnaissance.

Voir : La communication non violente

La pleine conscience (mindfulness)

Les pratiques de pleine conscience cultivent la capacité à porter une attention délibérée au moment présent, sans jugement.
Elle crée un espace entre les pensées négatives sur soi et l’identification à ces pensées, une pensée n’est qu’une pensée, elle est de la nature de la pensée, elle ne me défini donc jamais… La pleine conscience permet de voir ces pensées comme des événements mentaux transitoires plutôt que comme des vérités absolues sur soi.
Par la pratique régulière de la méditation (quelques minutes par jour), on développe la capacité à observer les pensées auto-critiques avec une certaine distance. On apprend à dire “J’observe une pensée qui dit que je suis incompétent” plutôt que “Je suis incompétent”.
Les recherches montrent que cette désidentification réduit significativement la rumination mentale et augmente la capacité à vivre l’expérience ici et maintenant sans avoir à la filtrer constamment à travers le prisme de l’auto-évaluation (bien, mal, juste, injuste, moral, immoral, amoral).

Beaucoup de personnes souffrant d’une estime fragile fuient certaines parties d’elles-mêmes : elles rejettent leurs échecs, minimisent leurs émotions, refusent de voir leurs besoins réels. En cultivant une posture d’observateur bienveillant, la méditation permet d’intégrer ces aspects sans les subir.

L’Internal Family Systems (IFS)

Nous avons tendance à croire que nous sommes une seule et même entité homogène. Or, nous sommes constitués de multiples parties : des parts confiantes, des parts critiques, des parts blessées… L’IFS met en lumière ces différentes facettes et aide à rétablir un équilibre intérieur. Plutôt que de chercher à éliminer ses parts négatives (ce qui est illusoire), cette approche propose d’apprendre à dialoguer avec elles, à comprendre leur fonction et à les apaiser.

L’IFS aide à identifier les différentes parties de soi et à comprendre leurs intentions positives et de les accueilir depuis un espace naturellement compatissant envers toutes ces parties.
Cette approche est particulièrement puissante pour les personnes dont l’estime de soi est minée par un critique intérieur sévère. Plutôt que de combattre cette partie critique, nous allons établir un dialogue avec elle et de comprendre quelle blessure ou quelle peur elle tente de protéger.

Voir : L’internal family system

La psychoéducation

Enfin, la psychoéducation joue un rôle fondamental. Comprendre comment fonctionne le cerveau, pourquoi nous avons des pensées négatives, d’où viennent nos schémas d’auto-dévalorisation, permet de désamorcer une grande partie du poids émotionnel associé à ces mécanismes.

Lorsque nous comprenons que notre cerveau est biologiquement câblé pour détecter les dangers (et donc pour donner plus de poids aux critiques qu’aux compliments), nous cessons de nous en vouloir de ne pas réussir à “penser positif”. Lorsque nous réalisons que le besoin d’importance est universel et non un signe d’égoïsme, nous pouvons le reconnaître et l’accueillir sans culpabilité. En bref, la psychoéducation permet de remettre en perspective ce que nous vivons, de nous donner des clés concrètes pour sortir des schémas automatiques et de nous réapproprier notre propre histoire.

En expliquant par exemple comment se forme l’estime de soi, comment nos biais cognitifs influencent notre auto-évaluation, ou comment le conditionnement social affecte notre relation à nous-mêmes, la psychoéducation offre des cadres conceptuels qui permettent de prendre du recul.
Cette approche est particulièrement utile pour les personnes qui se culpabilisent de leur faible estime d’elles-mêmes, ajoutant une souffrance supplémentaire à leur difficulté initiale.

L’autocompassion, une alternative prometteuse à la quête d’estime de soi

Kristin Neff et Ilios Kotsou présentent l’autocompassion comme une alternative particulièrement prometteuse à la quête traditionnelle d’estime de soi.
Contrairement à l’estime de soi qui dépend souvent de la performance et de la comparaison sociale, l’autocompassion reste accessible même dans les moments d’échec. Elle offre une base de sécurité interne plus stable et moins conditionnelle. L’autocompassion repose sur la bienveillance envers soi-même plutôt que l’auto-jugement, la reconnaissance de notre humanité commune plutôt que l’isolement, la pleine conscience plutôt que la suridentification aux émotions négatives.

Des études nous montrent que l’autocompassion protège davantage contre l’anxiété et la dépression. Il est tout à fait crucial de noter que les interventions visant à développer l’autocompassion montrent des résultats positifs même chez les personnes en grande souffrance psychologique, contrairement aux interventions centrées sur l’estime de soi.

Ces pratiques, intégrées régulièrement dans le quotidien, permettent progressivement de développer une relation à soi plus saine et plus nourrissante.

L’accompagnement des problématiques d’estime de soi gagne à être personnalisé selon les besoins spécifiques, l’histoire et les préférences de chaque personne.
Par exemple, une personne avec un fort critique intérieur pourrait bénéficier davantage d’une approche IFS initiale, tandis qu’une autre, très déconnectée de ses émotions, pourrait commencer par la pleine conscience. Une personne analytique pourrait être particulièrement réceptive à la psychoéducation, quand une autre, plus intuitive, répondrait mieux à l’hypnose.
Cette personnalisation, loin d’être un “bricolage”, repose sur une compréhension approfondie des mécanismes en jeu dans les problématiques d’estime de soi et des leviers spécifiques de chaque approche.

Finalement, ce qui importe n’est pas tant d’avoir une “haute estime de soi”, mais d’apprendre à s’accueillir pleinement, avec lucidité et bienveillance, pour construire une relation apaisée avec soi-même et avec le monde.

Etudes scientifiques et référence sur l’estime de soi

Baumeister, R. F., Campbell, J. D., Krueger, J. I., & Vohs, K. D. (2003). Does high self-esteem cause better performance, interpersonal success, happiness, or healthier lifestyles? Psychological Science in the Public Interest, 4(1), 1-44.

D’Ansembourg, T. (2001). Cessez d’être gentil, soyez vrai ! Être avec les autres en restant soi-même. Les Éditions de l’Homme.

Kabat-Zinn, J. (2003). Mindfulness-based interventions in context: Past, present, and future. Clinical Psychology: Science and Practice, 10(2), 144-156.

Kotsou, I. (2018). L’éloge de la lucidité: Se libérer des illusions qui empêchent d’être heureux. Robert Laffont.

Neff, K. D. (2011). Self-compassion: The proven power of being kind to yourself. William Morrow.

Rosenberg, M. (2003). La communication non violente au quotidien. Jouvence.

Schwartz, R. C. (2001). Introduction to the internal family systems model. Trailheads Publications.

Wood, J. V., Perunovic, W. Q. E., & Lee, J. W. (2009). Positive self-statements: Power for some, peril for others. Psychological Science, 20(7), 860-866.

 

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L’hypnose, la mindfulness, l’EMDR, le Yoga, vont, le plus souvent, permettre une meilleure régulation émotionnelle, une meilleur acceptation, un meilleur contact avec ses propres émotions.