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Gérer les émotions avec l’hypnose
Certaines personnes devant prendre la parole en public, prendre l’avion, face à une araignée ou un serpent, etc … ressentent leur cœur battre plus vite, leurs mains particulièrement moites, une vue troublée …
Par moments la solitude, l’incompréhension, le découragement génèrent pour certaines personnes le ressenti d’une forme de lourdeur, un manque d’énergie…
Toutes ces situations de vie où les émotions s’imposent finalement à nous, sans que notre volonté soit en mesure d’y répondre favorablement, nous empêchent souvent de prendre les bonnes décisions, de réagir de façon adaptée.
L’hypnose permet de mieux gérer ses émotions. Si certaines personnes cherchent à libérer des émotions, d’autres souhaitent mieux les maitriser, les contrôler afin de retrouver un équilibre, une sérénité dans les actes de vie au quotidien.
Séance individuelle
– 1h30 –
Gestion des émotions
José Colleatte
José Colleatte
Ma vision de l’hypnose
Mon code de déontologie
Vous souhaitez apprendre à gérer vos émotions, vous habitez Bordeaux ou sa région, je vous accueille au cabinet médical du 118 au Bouscat.
SOMMAIRE
Les émotions
Les émotions sont nécessaires à notre pensée, à la panification de nos actions, à nos prises de décision. Elles constituent la base de notre vie relationnelle, sont la propriété du vivant et sont nécessaires à notre survie. Si certaines émotions sont innées, d’autres sont le fruit d’un véritable apprentissage à travers les autres et notre parcours de vie.
L’hypnose peut nous libérer de ces apprentissages. Elle est un outil formidable pour comprendre nos émotions, les observer pour ce qu’elles sont, pour ce qu’elle nous transmettent comme messages. En nous autorisant à prendre du recul par rapport à certaines situations, à changer de regard sur soi et sur son environnement, à dépasser certaines peurs, l’hypnose nous permet souvent, en quelques séances, de mieux gérer ses émotions, de mieux les utiliser pour finalement trouver ou retrouver ses capacités à agir et à réagir avec son environnement tel que nous le désirons.
L’hypnose et les émotions
Les émotions sont au cœur du travail en hypnose. La réaction à un élément externe (ou interne, comme une pensée) va provoquer une série d’événements en chaine, en réponse à ce qui a été perçu, ou à ce que nous avons cru percevoir afin de nous faire réagir.
Tout ce qui va être de nature à créer un déséquilibre va d’abord mettre en mouvements les centres nerveux, activer certaines zones cérébrales profondes puis parvenir à la conscience afin d’évaluer la situation. Une fois évaluée, nous allons agir, réagir ou laisser notre système s’apaiser et retrouver un équilibre.
On comprend alors que la façon dont chacun va évaluer la situation dans la création ou le maintien d’une émotion a un impact majeur dans la façon dont nous percevons l’événement. Ces perceptions sont, pour la plupart, le résultat d’expériences individuelles conduisant chacun à réagir de façon différente.
Imaginez que dans certaines cultures, des personnes prennent plaisir à manger des araignées en friture, des tripes ou encore de la cervelle… En fonction de nos propres filtres de perception, chacune de ces expériences peut provoquer des réactions très différentes, non ?
La façon dont nous percevons le monde est orientée par notre culture, notre éducation, nos expériences de vie et plus généralement de ce que nous pensons.
Le travail en hypnose va consister à réguler l’expression de ces émotions afin qu’elles puissent retrouver une juste place et une plus juste expression.
Qu’est-ce qu’une émotion ?
Le paradoxe des émotions est qu’elles semblent évidentes alors que les tentatives pour parvenir à une définition consensuelle acceptée dans tous les domaines, des neurosciences à la psychologie en passant par la philosophie, ont échoué à plusieurs reprises.
Dans tous les cas, le mot émotion suggère un mouvement – émotion, mouvoir, mouvement, locomotion, appartiennent au même champ sémantique.
L’émotion est, à l’origine, une réaction , une réponse : une réaction à un changement dans notre environnement ou à quelque chose qui surgit à notre esprit; une réponse à un déséquilibre, à un besoin. Cette réaction est automatique, spontanée et complexe. Le corps se met en mouvement, effectue des changements biologiques et physiologiques (réactions viscérales, débit sanguin, respiratoire…) provoquant des changements dans notre façon d’être présent au monde et à nos pensées, sans que nous puissions empêcher l’apparition de ces modifications corporelles.
Ces états émotionnels peuvent être réactivés par des amorçages contextuels (ou ce que nous nommons en hypnose : un ancrage), échappant le plus souvent au contrôle du sujet. Les émotions existent, en effet, indépendamment de la conscience et se rencontrent aussi bien chez les êtres humains que chez d’autres animaux.
Des émotions aux sentiments
Pour des raisons tant sémantiques que conceptuelles, la relation entre les sentiments subjectifs et les états émotionnels est un point fréquent de confusion.
En effet, l’usage familier du mot “émotion” fait référence aux “sentiments”, c’est à dire à notre perception subjective des états émotionnels et à leurs réponses somatiques (corporelles).
L’émotion est d’abord biologique. Vient ensuite la prise de conscience de cette sensation émotionnelle. Cette prise de conscience va pouvoir moduler toute cette causalité biologique. Le sentiment, le regard que l’on porte sur nos émotions, quant à eux, ne dépendent pas que de la biologie, ils vont dépendre de notre histoire, de nos apprentissages.
Nous pourrions dire que l’émotion est ce qui nous bouge, nous remue, alors que le sentiment c’est ce qui nous instruit, il nous apprend quelque chose sur notre façon de vivre chaque instant de notre existence.
A quoi servent nos émotions ?
S’il est fréquent que les émotions perturbent notre raison, nous font agir à l’encontre de ce que nous aurions souhaité faire ou dire, à l’encontre de nos valeurs, des travaux comme ceux de Charles Darwin, d’Antonio Damasio, nous montrent que les émotions nous aident à mieux raisonner, à être plus intelligents.
Antonio Damasio, un des plus grands chercheurs contemporains en science de la neurobiologie des émotions, montre que les émotions sont indispensables à notre intelligence et à nos prises de décision. Il va même plus loin, en indiquant qu’elles sont la base de la culture humaine.
Se sont les émotions qui nous motivent à inventer, à créer, dans les domaines artistiques et techniques… Tout ce que comporte la culture humaine est motivé par les émotions et par le désir de ressentir d’avantage de choses agréables, et de minimiser les moments désagréables.
Les émotions sont fondamentales et facilitent la survie de l’espèce.
En effet, les émotions constituent un mécanisme de préparation à l’action et permettent de réagir à son environnement, de s’y adapter.
La peur, par exemple, est l’émotion du danger. Elle nous met en alerte très rapidement par rapport à d’éventuelles menaces. Elle nous permet de réagir très vite afin de nous battre contre un adversaire, bondir sur une proie, fuir une situation de danger de mort imminente …
La colère a également une fonction très précieuse, chez l’animal et pour l’espèce humaine. Elle sert à intimider les congénères ou les prédateurs, en l’avertissant d’une prédisposition à se battre. Elle évite bien souvent le conflit physique et assure la survie au sein du groupe.
Ces émotions, bien que souvent ressenties de façon négative, ont pour fonction de faciliter la survie de l’individu et du groupe.
De même, les émotions perçues comme étant positives, ont pour fonction de nous motiver à nous approcher des ressources indispensables. Ces émotions positives donnent envie de chercher de la nourriture, de chercher à boire, de chercher à nous reposer, de chercher à avoir des rapports sexuels…
Les émotions positives nous amènent à des actions motivées par le désir et récompensées par le plaisir.
Les émotions jouent un rôle prépondérant dans la communication. Le fait que nous soyons solidaires les uns des autres n’est pas seulement une valeur culturelle, c’est aussi une nécessité biologique. Seuls les êtres humains n’ont que peu de chances de survivre. Ils ne présentent pas de caractéristiques physiques très importantes. L’Homme se déplace lentement, n’est pas pourvu de cornes ou de griffes… biologiquement nous sommes très faibles dans la sphère du règne animal.
Les émotions permettent d’assurer la cohésion dans le groupe social, portée par l’empathie, l’altruisme, la solidarité …
Peut-on classer les émotions ?
Emotions positives et émotions négatives
Les états émotionnels ont souvent été classés en fonction de leur valence (ressentis comme positifs ou négatifs) .
Nous qualifions les émotions agréables de positives : la joie, la gratitude, l’amour… et les émotions désagréables de négatives : les peurs, la colère, la tristesse…
Nous évoquons surtout des émotions agréables et désagréables selon le confort et l’inconfort qu’elles procurent. Néanmoins aujourd’hui, nous considérons qu’elles sont toutes positives, qu’elles sont toutes constructives parce que l’origine de toutes les émotions sont des signaux qui nous portent de l’information.
Mieux comprendre les émotions nous permet de mieux les accueillir, les entendre, les réguler, les apaiser, pour en faire une source d’inspiration et de réflexion …
L’intensité des émotions
Chaque émotion peut se décliner en fonction de son intensité.
La tristesse, par exemple, peut être un petit vague à l’âme, c’est à dire une tristesse de basse intensité. Elle peut aussi être une tristesse d’intensité moyenne, un découragement ou encore le désespoir.
Pour la colère vous pouvez être agacé, franchement en colère, fâché, furieux ou littéralement enragé.
De la même façon vous pouvez être de bonne humeur, être dans la joie, ou euphorique.
L’intensité de l’émotion va dépendre de notre histoire, de la façon dont nous avons déjà traversé ces émotions ou ces situations par le passé (les ancrages), de notre façon de lui accorder de l’importance et de ce que nous pensons être vrai (les croyances), mais aussi de l’environnement dans lequel nous nous trouvons à cet instant, de notre état d’esprit à ce moment-là.
S’il est normal de ressentir de la peur ou de la tristesse, en revanche, le fait de les ressentir d’une manière explosive ou de manière prolongée, ou encore de les ressentir dans des situations qui ne nécessiteraient pas de les ressentir aussi fortement, pose souvent problème.
L’accompagnement sous hypnose peut être un levier de changement très puissant dans la régulation et dans l’expression de nos émotions. Des techniques telles que l’EMDR ou l’EFT sont également de très bons alliés dans une démarche d’accompagnement.
Les émotions primaires ou fondamentales
Les émotions fondamentales ou primaires sont constituées par des réactions qui semblent préprogrammées. Elles sont présentes chez le bébé ainsi que chez les primates.
Des fondements neuroscientifiques aux émotions primaires sont venu enrichir les connaissances, proposant des modèles différents. Panksepp en 2011 et Damasio en 2010 proposent un modèle selon trois niveaux. Paul Ekman en 2007 identifie six émotions de base: la colère, le dégoût, la surprise, la peur, la joie et la tristesse.
Certains chercheurs ont étudié l’expression émotionnelle chez des enfants qui viennent au monde aveugles. Les études montrent qu’ils peuvent exprimer, par leur mimiques, des émotions lorsqu’ils sont heureux ou malheureux, sans avoir pu les apprendre par mimétisme.
Il y a donc un caractère inné dans l’expression de certaines émotions, caractère que nous affinons peu à peu en fonction de notre culture.
Parmi toute la palette d’émotions certaines sont considérées comme des émotions fondamentales, dites aussi primaires ou encore darwiniennes, par opposition aux variations subtiles qui instaurent des émotions liées aux contextes sociaux et relationnels que sont les émotions secondaires, mixtes ou complexes.
Les émotions primaires
Trois siècles avant notre ère, Aristote cite la colère, la pitié, la peur et le désir ainsi que leurs opposés et précise qu’elles sont suivies de plaisir ou de douleur.
Les premiers concepts d’émotions “fondamentales” ou “primaires” remontent au moins au Livre des Rites , une encyclopédie chinoise du premier siècle.
En 1649 René Descartes, s’il évoque à l’époque des “passions”, il distingue six passions fondamentales, six passions claires et distinctes : l’admiration, l’amour, la haine, le désir, la joie et la tristesse. Toutes les autres sont composées de quelques-unes de ces six, ou bien en sont des espèces.
En 1872 Charles Darwin rédige un ouvrage portant sur l’expression des émotions chez les hommes et les animaux. Il pose les premiers postulats qui influenceront de façon déterminante les recherches sur les émotions. Pour Darwin, les émotions sont universelles (présentes dans toutes les cultures et tous les pays) et adaptatives (elles permettent de répondre de façon appropriée à l’environnement, assurant la survie de l’espèce).
Au début du 20ème siècle, l’expression de toutes les émotions n’est pas considérée comme innée mais au contraire acquise culturellement.
En 1968, Paul Ekman, l’un des plus grands chercheurs contemporains en psychologie des émotions, identifie six émotions fondamentales : la colère, le dégoût, la peur, la joie, la tristesse et la surprise). Il démontre que ces émotions s’expriment de façon universelle et tranche le débat en faveur de Darwin, grâce à des expériences sur des peuples de Papouasie-Nouvelle-Guinée.
En 1980, Robert Plutchik identifie huit émotions primaires qu’il regroupe en quatre paires d’opposés polaires (joie-tristesse, colère-peur, confiance-méfiance, surprise-anticipation).
Depuis, plus d’une trentaine d’études ont confirmé le caractère universel de plusieurs familles d’émotions.
Dans les années 1990, Ekman propose une liste élargie d’émotions de base, une gamme d’émotions positives et négatives qui ne sont pas toutes codées dans les muscles faciaux. Les émotions nouvellement incluses sont : l’amusement, le mépris, le contentement, l’embarras, l’excitation, la culpabilité, la fierté, le soulagement, la satisfaction, le plaisir sensoriel et la honte.
Quoi qu’il en soit, si la liste des émotions primaires est discutée, certaines sont admises par tous, telles : la joie, la peur, la colère, la tristesse.
Ces distinctions ne sont pas contradictoires si on admet que les émotions de base sont des signaux physiologiques d’éprouvés et s’appuient sur un contexte d’universalité d’expressions, fournissant des informations à autrui.
Les émotions secondaires
Les émotions secondaires, dites également complexes, mixtes ou sociales.
Techniquement, une émotion mixte est un mélange de plusieurs émotions. C’est le point de vue, entre autres, de Plutchik qui, dans une approche évolutionniste, considère les émotions secondaires comme des mélanges de deux autres émotions primaires. Oatley et Johnson-Laird énoncent, quant à eux, qu’une émotion secondaire est la combinaison d’une émotion de base et de représentations mentales dans une approche cognitiviste. Pour Damasio, les émotions secondaires viennent au cours du développement individuel à partir du moment où l’on commence à prendre conscience de ses émotions et à établir des rapports entres certains types de phénomènes, de situations et les émotions primaires.
La nostalgie est un cas typique d’émotion mixte. C’est un mélange d’émotion agréable et d’émotion désagréable. Nous éprouvons un sentiment mêlé de joie (en nous remémorant de bons souvenirs) et dans le même temps de tristesse (à l’idée que c’est le passé ou notre jeunesse).
Les émotions sociales pour Damasio comprennent la sympathie, le mépris, la culpabilité, l’envie et la honte. Selon lui, elles font aussi partie d’un programme inné, mais ne se déclenchent que dans les situations sociales humaines. Les émotions sociales sont utiles communiquer avec l’autre, détecter les différences chez autrui et selon Damasio ont certainement été mises en place par l’évolution pour détecter les dangers, signaler un risque et favoriser l’attaque ou au contraire l’évitement.
Les émotions secondaires sont d’une façon générale toutes les résultantes de tous nos apprentissages, en fonctions des contextes, de nos histoires de vie respective, de nos traits de caractère, et constituent autant de variations subtiles, imperceptibles parfois, qui font la richesse de notre vie émotionnelle.
Pour aller plus loin : les émotions selon Paul Ekman
CONTEXTE | Il s’agit du contexte ou de situations qui peuvent influencer la façon dont nous entrons dans l’émotion. Par exemple, notre condition préalable pourrait être physiologique : avoir faim, être fatigué ou psychologique : avoir passé une journée très agréable ou stressante ou être sorti d’un épisode émotionnel antérieur. |
ÉVÉNEMENT | il peut s’agir d’une personne, d’un lieu, d’une situation, d’une image, d’une pensée, d’un souvenir, d’une odeur, d’un son, d’un goût que nous rencontrons venant du monde extérieur ou de notre propre esprit. |
DÉCLENCHEUR | il s’agit de l’évaluation inconsciente de l’événement au regard de nos ancrages émotionnels et de nos programmes innés. |
ANCRAGES ÉMOTIONNELS | il s’agit de nos réponses universelles, innées, et de nos souvenirs émotionnels acquis individuellement au cours de notre vie, ou encore par héritage trans-générationnel. Il s’agit de ce que nous nommons en hypnose des ancrages émotionnels. |
CHANGEMENTS PHYSIQUES | Il s’agit des changements autonomes dans notre corps qui se produisent lorsque notre émotion naît. Nous pouvons faire l’expérience de ces changements : sensations dans notre corps, chaleur dans notre visage, serrements dans nos mâchoires ou nos épaules, accélération cardiaque … |
ÉTAT | Il s’agit de l’émotion elle-même, y compris les changements physiques et psychologiques. |
CHANGEMENTS PSYCHOLOGIQUES | Cela décrit l’expérience qualitative de l’émotion, de l’intensité de celle-ci. |
ACTION | il s’agit de nos réponses émotionnelles. Cela pourrait être un comportement externe tel que crier quand nous sommes en colère, ou interne, comme de s’interdire cette colère quand nous la ressentons. Les réponses peuvent être constructives ou destructives. |
CONSÉQUENCES |
Il s’agit du résultat ou de l’impact de nos actions émotionnelles. Si nous avons exprimé la colère en criant, il est probable que cette colère se soit calmée, alors que si nous l’avons bloquée, nous pourrions ressentir une irritation continue. Prendre conscience des conséquences est l’opportunité pour nous de construire une conscience émotionnelle à travers la réflexion que nous pouvons mener sur notre émotion, comprendre le déclencheur, identifier l’expérience ressentie et considérer son impact. |
Le temps qui se déroule entre chaque étape est variable, selon les caractéristiques individuelles de chaque personne, de leur profil émotionnel, de l’intensité du déclencheur évalué et de l’état psychologique momentané de l’individu. L’évaluation de l’événement est filtrée et interprétée, mêlant l’information pertinente et cohérente avec l’émotion dominante, pouvant ainsi modifier, amplifier ou supprimer les sentiments subjectifs.
Etudes scientifiques – la gestion des émotions et l’hypnose
Sensation et émotion viscérales: une étude utilisant l’ hypnose
Nous avons précédemment montré que l’ hypnose peut être utilisée pour étudier l’effet de différentes émotions sur la motilité du tractus gastro-intestinal. (voir l’étude)
Les effets de l’ hypnose sur un golfeur de haut niveau en Europe: une conception à sujet unique.
Les données qualitatives révélées par l’ hypnose peuvent contrôler positivement les émotions , les pensées, les sentiments et les perceptions. (voir l’étude)
Changements fonctionnels de l’activité cérébrale après hypnose chez les patients atteints de phobie dentaire.
La présente étude fournit des preuves scientifiques que l’ hypnose est une méthode puissante et efficace pour inhiber la réaction des structures de circuits de peur.(voir l’étude)
L’utilisation de l’ hypnose en thérapie pour augmenter le bonheur.
L’ hypnose permet une attention accrue de la part de la direction avec un contrôle des émotions, se concentrer sur l’imagerie positive contribue à renforcer les «voies heureuses» et les émotions suscitées par le passé, le présent et l’avenir sont sujettes au changement. (voir l’étude)
Activité EEG et fréquence cardiaque lors du rappel d’événements émotionnels dans l’ hypnose
Le but de la présente recherche était de trouver des corrélats physiologiques et cognitifs de l’ hypnose , de la suggestibilité imaginative et des expériences émotionnelles . (voir l’étude)
Hypnose : émotions pour l’homme d’étain (la personnalité schizoïde)
L’ hypnose a été efficace pour transformer l’homme de plomb en une personne avec des émotions et des sentiments.(voir l’étude)
L’hypnose réduit l’anxiété préopératoire chez les patients adultes.
En conclusion, nous avons constaté que l’ hypnose atténue considérablement l’anxiété préopératoire. (voir l’étude)
Affect et hypnose : en accordant une attention amicale aux pensées dérangeantes.
Les cognitions liées à des émotions désagréables peuvent devenir extrêmement résistantes au changement jusqu’à ce que le travail de transe modifie l’environnement affectif du participant. (voir l’étude)
Plus de 14000 études à propos de l’hypnose mettent régulièrement en avant l’effet bénéfique de la pratique de l’hypnose dans la régulation émotionnelle ouvrant la possibilité de libérer ses émotions ou de gérer ses émotions.
Gérer sa colère avec l’hypnose
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Hypersensibilité émotionnelle
Alors que les personnes très sensibles, voire hypersensibles ou plus simplement hyperémotives, sont parfois décrites négativement comme étant «trop sensibles», ce trait de personnalité, lorsqu’il est régulé, accueilli, nourri des capacités, des forces, des valeurs qui peuvent nous permettre de relevés les défis proposés par la vie, notre environnement.
L’hypnose, la mindfulness, l’EMDR, le Yoga, vont, le plus souvent, permettre une meilleure régulation émotionnelle, une meilleur acceptation, un meilleur contact avec ses propres émotions.
Dépasser ses peurs avec l’hypnose
La peur, l’anxiété et l’angoisse désignent trois réalités distinctes en psychologie, elles peuvent toutefois être considérées comme trois degrés d’un même état physiologique.
Hypnose et traumatismes complexes
La recherche commence à démontrer qu’il est considérablement plus répandu que le syndrome de syndrome de stress post traumatique plus circonscrit décrit dans le DSM. Sur cette base, nous discutons des raisons pour lesquelles le traitement hypnotique structuré est particulièrement bien adapté pour le syndrome post traumatique complexe
Dépasser les phobies avec l’hypnose
Hypnose Bordeaux, le Bouscat > Applications de l'hypnose > PhobiesPhobies Dépasser les peurs irrationnelles à BordeauxLes psychologues font souvent une distinction entre les peurs et les phobies. Une peur est une réponse émotionnelle à une menace réelle ou...
Gérer le stress avec l’hypnose
La gestion du stress est une demande très forte en cabinet. Vouloir baisser son niveau de stress, mieux appréhender des situations de stress chronique, voire en sortir, font régulièrement parti du travail en hypnose.