Acrophobie, dépasser le vertige et la peur du vide avec l’hypnose
L’accompagnement de l’adulte acrophobe à Bordeaux
Les personnes acrophobes sont terrifiées à l’idée de prendre de l’altitude, de la distance par rapport au sol, de la hauteur, du vide. Naturellement la phobie peut prendre des proportions plus ou moins importantes : difficulté ou incapacité à regarder depuis un balcon, être au bord d’un précipice, etc …
L’hypnose et l’EMDR – dans des approches éricksonniennes et constructivistes – proposent des solutions qui permettent de vous accompagner pour dépasser la peur du vide.
José Colleatte
José Colleatte
Ma vision de l’hypnose
Mon code de déontologie
Séance individuelle / Couple
– 1h30 –
Hypnose – peur du vide
Vous avez peur du vide, vous habitez Bordeaux ou sa région, je vous accueille au cabinet médical du 118 au Bouscat.
La peur du vide et des hauteurs
Échelle, montagne, balcon…
Définition de l’acrophobie – qu’est ce que la peur de la hauteur ou du vide ?
L’acrophobie – du grec « Akros » (le sommet, la hauteur) et « phobos » (peur terrible) – est la peur irrationnelle de la hauteur ou du vide. L’acrophobie (également appelée altophobie ou hypsophobie dans diverses terminologies ) signifie peur des hauteurs. Elle affecte 5% de la population. Cette phobie fait partie des phobies situationnelles, c’est-à-dire des phobies se référant à des lieux, en l’occurrence à des endroits en hauteur.
Cette peur irrationnelle et injustifiée des hauteurs peut se manifester dans différentes situations et entraîner des niveaux élevés d’anxiété.
L’acrophobie est un type spécifique de phobie. Comme l’hématophobie, l’amaxophobie ou la nyctophobie, c’est une phobie spécifique qui figure parmi les troubles anxieux.
L’acrophobie se manifeste sur les tours, les hautes montagnes, les pentes, les ponts, les gratte-ciels, les balcons et les échelles, sur une chaise, dans un escalier sans contremarche, sur des grilles de chantier ou des bouche d’aération de parking ou de métro.
Certaines personnes atteintes d’une phobie des hauteurs peuvent étonnamment se sentir en sécurité dans certaines espaces comme sur leur propre balcon, mais s’effondrer à d’autres endroits, par exemple lorsqu’elles montent à une échelle.
Les symptômes de l’acrophobie apparaissent donc en situation, mais également hors situation, par le seul fait de la pensée. Imaginer une falaise à proximité peut déclencher une sensation d’inconfort intense.
L’acrophobie peut être particulièrement invalidante car les personnes qui en souffrent paniquent souvent dans des situations où elles devraient précisément rester calmes et rassemblées pour rester en sécurité. Une crise d’angoisse en haut d’une échelle ou d’un escalier peut entraîner des blessures.
De façon plus spécifique, les personnes souffrant d’acrophobie peuvent également se figer sur place lorsque la hauteur devient trop importante. La sensation d’être piégées empêche alors certaines personnes de faire quoi que soit, elles sont tétanisées par la peur (un peu comme les chats perchés dans un arbre que nous devons faire descendre avec l’aide des pompiers).
La peur des hauteurs, une peur fondamentale et naturelle
Bien que la peur du vide, lorsqu’elle s’exprime de façon trop important entre dans la catégorie des peurs irrationnelles et donc des phobies, la peur des hauteurs est une crainte moins surprenante que d’autres. En effet, si certaines phobies paraissent absolument irraisonnées et incompréhensibles, comme celles des peignes ou des cotons tiges, la peur des hauteurs est une peur fondamentale. Tous les être humains la ressente. Aussi quand une personne fait du parapente, un plongeons de plusieurs mettre, un saut à l’élastique ou encore qu’il marche sur un fil en altitude, elle ressent la peur.
Les chercheurs suggèrent que, dans une certaine mesure, avoir peur des hauteurs est naturel pour la plupart des humains et des animaux visuels. C’est donc une peur commune et c’est la raison pour laquelle une phobie de ce type peut affecter de nombreuses personnes, où qu’elles vivent et quelque soit leur âge. Elle affecterait entre 2 et 5% de la population, et serait deux fois plus fréquente chez les femmes que chez les hommes.
En 1960, les célèbres psychologues de recherche Eleanor J. Gibson et Richard D. Walk ont mené une expérience qui montrait des bébés se déplaçant à quatre pattes refusaient de traverser un panneau de verre épais au dessus du vide. La présence de la mère, l’appelant de façon encourageante, n’a pas convaincu le bébé qu’il était en sécurité.
La peur instinctive des hauteurs devient une phobie lorsqu’elle est considérée comme exagérée ou gênante dans les activités quotidiennes de la personne. Pour éviter les hauteurs, les acrophobes refusent souvent de s’approcher des balcons, des immeubles de grande hauteur et de toute autre situation ou zone courante. Chez certaines personnes, le simple fait de penser aux hauteurs peut suffire à déclencher une attaque de panique.
La peur de la hauteur ou du vide est inappropriée car il y a peu ou pas de danger objectif . Pour déclencher la peur, une altitude élevée n’est pas toujours nécessaire, quelques mètres peuvent suffire. Dans les concepts psychologiques, la peur des hauteurs est associée à la peur de « tomber ». Lorsqu’elle se tiennent derrière une vitre, par exemple, il n’y a pas de réaction de peur. Certaines personnes, quant à elles, ne souffrent d’acrophobie qu’à l’extérieur.
Rappelons que la peur est l’une des émotions de base qui nous aide à détecter et à faire face à des situations après les avoir reconnues comme dangereuses. Elle nous mobilise pour agir, combattre ou fuir face à un danger imminent, réel ou imaginaire. L’acrophobie est une peur intense, irrationnelle et persistante dont certaines personnes souffrent quand elle s’éloigne du sol ou simplement en y pensant, ce qui ne correspond pas toujours au danger potentiel réellement détecté.
Une personne qui a peur de la hauteur surestime donc le danger et sous-estime sa propre capacité à y faire face.
Reconnaître l’acrophobie
Seul un psychologue ou un médecin peut poser le diagnostic d’acrophobie. L’hypnologue (ou praticien en hypnose) n’établit pas de diagnostic. Je suis accompagnant, je suis là pour vous guider et s’il arrive que le travail sur vous, sur vos émotions, puisse avoir des effets thérapeutiques indirects, je ne suis ni médecin, ni psychologue, ni psychiatre, ni psychothérapeute. Dans la pratique, je ne cherche pas à supprimer un symptôme, mais à agir sur les mécanismes inconscients qui sont à l’origine d’une problématique.
L’acrophobie, comme toute phobie, peut varier dans son expression de légère à sévère. Certaines personnes seront plus ou moins mal à l’aise à l’idée de grimper sur une échelle ou d’effectuer une randonnée en montagne, alors que d’autres seront prise de panique au deuxième barreau d’une échelle, sur une chaise ou sur un tabouret.
L’acrophobie est une phobie spécifique – la peur d’une situation ou d’un objet spécifique.
Les critères généraux du DSM propose pour l’acrophobie :
- Réactions phobiques automatiques et incontrôlables, telles que tremblements, essoufflement et problèmes digestifs
- Prendre des mesures extrêmes pour éviter votre déclencheur
- Réaction exagérée totalement disproportionnée au risque réel; le patient peut être conscient ou ignorer que sa réaction est extrême.
- Durée de 6 mois ou plus
Quelles sont les causes de l’acrophobie ?
Facteurs génétiques
Plusieurs enquêtes estiment qu’il existe la possibilité d’un facteur héréditaire dans le développement de l’acrophobie. Certaines personnes sont en effet considérées comme plus prédisposées génétiquement aux troubles anxieux que d’autres.
L’acrophobie est une peur naturelle et commune à tous, s’inscrivant très probablement dans notre patrimoine génétique, en lien avec l’évolution.
Les enfants sont naturellement prêts à s’agripper lorsqu’ils ont la sensation de tomber, c’est le réflexe de moro qui, là encore, est commun à tous les êtres humains.
Au-delà des facteurs génétiques, le trouble phobique peut aussi être dû au fait que les enfants, dès leur plus jeune âge, observent le comportement phobique de leurs parents face aux hauteurs, comprennent le danger et finissent par souffrir de la même peur des hauteurs.
Traits de personnalité
Les personnes ayant un trait d’anxiété plus élevé, elles sont davantage sujettes à l’acrophobie. De plus, ceux qui sont plus perfectionnistes ont besoin de plus de contrôle sur leurs actions et ont une faible tolérance aux événements imprévus.
La personne qui a tendance à trop penser à un danger potentiel finit par développer une sensation de peur et, en l’influençant davantage, elle ressentira plus de peur, même lorsque la situation de hauteur n’est plus présente.
Manque de confiance en soi, manque d’estime de soi
Une faible estime de soi, une manque de confiance peuvent être en lien avec les peurs excessives liées à la hauteur ou la peur du vide. Les personnes qui pensent qu’elles ne sont pas capables finissent par remettre en cause de simples capacités comme marcher alors qu’elles pourraient être bousculées par une activation de la peur face au vide.
Le manque d’estime de soi empêche souvent la personne de se prendre en charge et encourage l’enracinement des difficultés.
Expériences traumatisantes déjà vécues en tant qu’acteur ou spectateur
Avoir eu un accident ou s’être blessé(e) suite à une chute ou un événement difficile voire traumatique en altitude ou dans une situation de hauteur peut entraîner une peur intense de se retrouver dans une situation similaire. Les événements qui provoquent cette phobie ne sont pas toujours des accidents : une crise de panique dans ce type de situation peut également provoquer le développement d’une telle phobie.
Cependant, les personnes acrophobes ne sont que rarement concernées par un accident ou une difficulté vécues proches du vide. La plupart d’entre elles ne savent pas comment la phobie a commencé et sont donc dans des processus purement inconscients. D’autres auront été témoins de situations telles qu’un suicide par défenestration, ou depuis une falaise.
Les médias, les films catastrophes et les grands événements tels que les attentats du 11 septembre 2001 peuvent provoquer ce type de phobie.
Écarts du processus de raisonnement logique
La peur ne vient pas de la hauteur en soi.
Ce qui fait peur aux personnes souffrant d’acrophobie ? Les conséquences possibles de leurs actions à proximité du vide ou de la hauteur. Par exemple avoir peur de tomber depuis le haut d’une échelle après avoir eu un geste brusque ou non coordonné, avoir peur de glisser sur un sentier en bordure de falaise, imaginer bien sûr que le glissement de terrain sur la route donnant sur la vallée va se produire au moment où la personne emprunte cette route …
Effets liés à l’acrophobie
Réactions physiques
Les réactions physiques que vous pouvez rencontrer avec l’acrophobie sont similaires à celles des autres phobies : peur extrême qui provoque une détresse dès qu’il s’agit de se retrouver en hauteur. La manifestation répétée des symptômes peut finir par provoquer des problèmes de santé liés au stress.
- Vertiges
- Figement
- Maux et douleurs
- Respiration superficielle rapide, suffocation
- Palpitations cardiaques
- Frissons et tremblements accentuant encore la peur de mouvement parfois irrationnelle
- Tension musculaire
- Transpiration accrue
- Altérations du système gastrique
- Nausées et / ou vomissements
Si l’hypnose permet de gérer son stress, des outils comme l’EMDR peuvent également être utiles, dans le cas de stress intenses (ou syndrome de stress post traumatique). La psychologie positive, l’EMDR, l’hypnose, la PNL offre un cocktail de techniques particulièrement utiles dans la gestion de la réduction du stress.
Les pensées liées à l’acrophobie
Dans la phobie de la hauteur, les symptômes physiques peuvent être accompagnés d’une série de croyances dites limitantes, parfois irrationnelles, corrélatives à la situation redoutée.
Dans ce cas la personne éprouve des pensées intrusives et permanentes relatives aux dangers qui peuvent apparaître lorsqu’elles agit. Ces pensées se caractérisent par leur caractère incontrôlable et leur forte composante négative : peur de tomber, peur de laisser tomber son enfant, peur de glisser, peur que la rambarde ne tienne pas, peur que le câble se casse sur le télésiège, etc …
Le manque de confiance peut aussi se manifester avec des pensées comme : je suis nul(le), je n’y arriverai pas …
L’utilisation de l’hypnose permet de travailler sur la perception de son schéma de croyance à un niveau conscient et/ou inconscient.
Notre réflexion sur les situations créée des sentiments et des actions. Ces réflexions, ces actions, sont menées à partir des éléments extérieurs qui nous parviennent (des sons, des images, des odeurs…) et des pensées en lien avec ce que nous percevons. Ce sont autant de croyances ou d’apprentissages qui vont filtrer les éléments qui nous parviennent et créer une réalité physiologique propre à chacun.
Lorsque qu’une pensée est inutile, négative ou «irrationnelle», elle peut entraîner des conséquences émotionnelles, physiologiques ou comportementales indésirables. Se concentrer sur ces croyances et opérer des changements vers des croyances plus utiles, positives ou «rationnelles» peut conduire à des résultats émotionnels, physiologiques et comportementaux positifs, permettant ainsi d’aller ainsi vers ce qui est important pour soi.
Difficultés comportementales liées à l’acrophobie
Comme pour toutes les phobies spécifiques, la peur des hauteurs finit par interférer avec les schémas de comportement de la personne, modifiant sa façon de procéder au quotidien et produisant plusieurs types de réponse : des comportements évitants et des comportements de fuite ou de colère.
Les comportements évitants sont les actes que la personne atteinte d’acrophobie accomplit afin d’éviter la situation redoutée. Par exemple : ne pas prendre le pont suspendu et préférer faire un détour par un autre itinéraire, restreindre les vacances et les activités physiques afin d’échapper aux télésièges, aux routes à flanc de montagnes, aux randonnées.
Les comportements de fuite apparaissent face à la situation redoutée. Par exemple : partir en courant plutôt que de monter dans cette nacelle, prétexter une blessure au genou plutôt que d’accompagner ses amis à une séance de chute libre.
Bien sûr, ces alternatives ne sont pas toujours possibles et l’évitement n’est pas la solution à ce problème. Souffrir d’acrophobie peut être vraiment handicapant. Cela génère , comme pour beaucoup de phobies, de profonds sentiments d’incompréhension. Les personnes souffrant d’acrophobie doivent entendre des commentaires comme “ce n’est pas si haut que ça”, “tu exagères un peu”, “c’est ridicule”, “prends sur toi”…. Il leur est donc difficile de demander de l’aide et de surmonter leur peur.
Lorsque la personne évite les hauteurs, elle n’a aucun type de problème. Mais quand elle ne peut les éviter, elle souffre d’une peur intestine et peut développer une série de comportements qui lui font passer un très mauvais moment.
Les comportements répondent le plus souvent à des besoins conscients et/ou inconscients. Ils sont généralement le fruit d’un apprentissage, d’une habitude. S’ils ont répondu l’espace d’un instant à un besoin, certains de ces comportements sont devenus inutiles ou gênants. L’hypnose permet de vous détacher de ce qui est inutile, de conserver ce qui est utile pour vous et d’observer comment répondre naturellement à vos besoins en créant de nouveaux comportements plus adaptés.
Différence entre vertiges et acrophobie
Le vertige répond à un dysfonctionnement du système d’équilibrer (résidant dans l’oreille) ou à un problème cervical qui produit une sensation d’évanouissement ou de vertige. Une personne ayant des problèmes de vertige (raisons physiques ou apprentissage) est un candidat pour développer une peur des hauteurs.
Le vertige est donc distinct de l’acrophobie.
La principale différence entre les deux concepts réside dans le fait que le vertige est, en particulier, une illusion qui fait penser à l’individu que les choses autour de lui (y compris le sol) tournent ou tremblent, ce qui lui fait perdre l’équilibre.
Cela étant dit, on ne peut nier que l’acrophobie est liée au vertige de la hauteur, le vertige pouvant être un des symptômes de la peur des hauteurs.
L’hypnose pour dépasser l’acrophobie
Les adultes souffrant d’acrophobie se rendent souvent compte que leur peur est irrationnelle. Pourtant, ils se sentent impuissants pour la surmonter et redoutent la prochaine situation.
Heureusement, il y a de l’espoir. L’hypnose peut aider à dépasser cette phobie. J’accompagne très régulièrement des personnes en difficulté avec les hauteurs : un papa qui voulait véritablement accompagner son enfant à l’accrobranche pour son anniversaire par exemple, ou un alpiniste qui ne pouvait plus grimper suite au décès d’un de ses amis au surf, etc …
L’hypnose permet de travailler sur des processus inconscients, sur la façon dont vous percevez le monde à travers les filtres d’observation que vous avez appris au cours de votre vie. Elle permet également d’envisager d’améliorer les comportements et de les orienter dans le sens de ce qui est véritablement important pour vous.
Le regard que vous portez sur vous-même, le regard que vous portez sur les autres et l’importance que vous accordez au regard de l’autre sont des thématique souvent abordées en hypnose.
Dans le cas des peurs et de la régulation émotionnelle, ce sont des axes de travail qui permettent le plus souvent de réduire voir d’éliminer les pics émotionnels.
Certaines techniques de PNL et l’EMDR vont également vous aider à gérer votre réaction émotionnelle face au stimulus (dans ce cas le vide ou la hauteur).
La méditation et la visualisation positive sont d’autres méthodes que je vous propose pour dépasser l’acrophobie.
Dans tous les cas, vous faire accompagner en hypnose pour l’acrophobie doit se faire de façon éclairée. Prenez le temps de vous renseigner et de vous rapprocher de votre médecin en cas de doute.
Phobies associées à l’acrophobie
Aérophobie : Peur spécifique de voler. Selon la gravité de votre peur, vous pouvez avoir peur des aéroports et des avions, ou ressentir la peur uniquement lorsque vous êtes dans les airs. L’aérophobie peut parfois survenir parallèlement à l’acrophobie.
L’Illyngophobie : Phobie dans laquelle la peur du vertige en développement peut effectivement conduire au vertige comme des symptômes. L’acrophobie peut induire des sentiments similaires, mais les trois conditions ne sont pas les mêmes.
Bathmophobie : Peur des pentes et des escaliers et parfois liée à l’acrophobie. Dans la bathmophobie , vous pouvez paniquer lorsque vous regardez une pente raide, même si vous n’avez pas besoin de la gravir ou de la descendre. Bien que de nombreuses personnes atteintes de bathmophobie souffrent d’acrophobie, la plupart des personnes souffrant d’acrobophobie ne souffrent pas de bathmophobie.
Géphyrophobie : Trouble anxieux ou phobie spécifique caractérisé par la peur des ponts . En conséquence, les personnes souffrant de géphyrophobie peuvent éviter les itinéraires qui les mèneront au-dessus des ponts. Cette phobie est souvent en lien avec l’acrophobie ou l’amaxophobie.
Crémnophobie : Peur des précipices.
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