Vous êtes ici : Hypnose bordeaux > Changer > Respirez avec soi
Prendre le temps de respirer avec soi
Pourquoi prendre du temps avec soi-même ?
Prendre du temps pour soi, c’est l’occasion de mieux se comprendre, de mieux observer ses peurs, ses besoins, ses croyances, ses valeurs, de mieux définir ce qui est déplaisant et plaisant, et de se permettre de se poser les bonnes questions.
Cela permet de mieux cibler les axes de travail en séance ou par vous même, d’activer des leviers de changement plus structurels, plus fondamentaux et donc plus puissants.
Séance individuelle
– 1h30 –
hypnose
José Colleatte
José Colleatte
Ma vision de l’hypnose
Mon code de déontologie
Vous habitez Bordeaux ou sa région, je vous accueille au cabinet médical du 118 au Bouscat.
Avant propos
Vous respirez et peut-être pouvez vous vous dire, simplement, qu’a cet instant… Vous êtes vivants.
L’art de respirer est au centre de beaucoup de disciplines. Le yoga, la méditation, la sophrologie, la cohérence cardiaque…
Pourquoi ? Tout simplement parce que nous ne savons plus respirer. Personne ne nous a vraiment autoriser à nous poser, à observer ce qui est là, à simplement être présent à ce qui nous arrive maintenant alors qu’il suffirait d’observer un enfant en train de s’émerveiller devant un arbre, observant le ballet scintillant des feuilles et de la lumière, en étant juste là…
Vite ! c’est le mot qu’un enfant entend le plus souvent dans sa vie. Vite, vite, vite, plus vite encore, toujours plus vite.
Jusqu’où ? généralement jusqu’a la rupture, alors qu’adultes, nous continuons dans la même logique, il nous arrive même parfois de faire cette proposition à nos propres enfants, à nos proches…. Ne prenez pas le temps de déconstruire cette logique souvent très profondément ancrée en vous ou, autorisez vous à prendre le temps de respirer quelques secondes.
Respirez
Vous décidez de prendre du temps avec vous, peut-être de prendre quelques minutes pour vous mettre dans une position confortable, de prendre deux ou trois grandes respirations … profondes.
En prenant le temps, repensez, du mieux que vous le pouvez pendant quelques minutes aux événements agréables de votre journée, sans vous attarder sur les événements les moins agréables.
Peu importe la nature des événements que vous avez ressentis agréables, que ces événements soient joyeux, plaisants, confortables, lumineux, légers, doux, énergiques, drôles….
Et quand vous vous sentez prêt, prenez le temps d’être attentif à votre respiration en vous laissant guider par elle.
Du mieux que vous le pouvez, soyez simplement attentif à votre respiration. Sentez l’air qui entre dans vous poumons en passant par les narines, puis par la gorge, puis par les poumons. Poser vous la question de savoir à quel endroit vous ressentez l’air entrer un peu plus frais alors que vous inspirez.
Observer, du mieux que vous le pouvez, comment cet air est un peu plus chaud quand vous expirez non ?
Et du mieux que vous le pouvez, suivez simplement votre respiration, l’air qui entre, l’air qui sort, la façon dont votre cage thoracique monte et descent à mesure que vous respirez.
Et en étant attentif à votre respiration, observer simplement ce qui se passe pour vous. Observez comment vos pensées vont venir à vous immanquablement, c’est normal. Alors notez cette pensée et en souriant, revenez simplement à votre respiration…
Voyez ce qui se passe alors, observer comment les sensations ou l’absence de sensation sont simplement là.
Trop simple me direz-vous. C’est vrai ! On peut se demander alors comment plus de 8000 études scientifiques sur la mindfulness, comment plus de 6000 études sur la méditation, plus de 4000 études sur le yoga, ont été menées sur les bienfaits de ces pratiques, les effets qu’elle procurent sur les problèmes neurologiques, la gestion du stress, les problèmes de santé en général.
Je vous propose quelques enregistrements qui peuvent vous guider dans cet apprentissage, celui de mieux guider son attention à soi, à travers des propositions de méditations laïques, issues de programmes thérapeutiques de troisième génération qui ont vocation à réduire le stress, éviter les rechutes pour les personnes ayant vécu des phases dépressives, et de voir comment ces apprentissages viennent poursuivre le travail que nous avons entrepris en séance.
Nous savons aujourd’hui que notre cerveau, lorsqu’il est gouverné par notre mental (ou notre égo) qui puise ses ressources dans le passé comme pour mieux se projeter dans le futur, sans prendre le soin de savoir ce qui se passe maintenant au présent, est bien souvent à l’origine de nos ruminations, de la mise en route de nos pilotes automatiques. Nous sommes alors bien souvent dans une boucle, sans même savoir que nous sommes pris dedans, et continuons de chercher nos solutions dans le cœur même de cette boucle, source de nos problèmes.
En devenant observateur de ce qui se passe pour vous, simplement, vous pourrez observer qu’une pensée n’est qu’une pensée, qu’un comportement n’est qu’un comportement et que cette pensée, ce comportement, ne vous définissent pas.
C’est alors que certains glissements consécutifs aux séances que nous menons ensemble vont véritablement vous offrir la possibilité du choix, et vont régulièrement s’inscrire plus profondément.
La neuroplasticité cérébrale comme vecteur de changement en hypnose
Si nous disposons tous au démarrage d’un “potentiel plastique”, certains d’entre nous, plutôt que de développer ces capacités plastiques à travers le nourrissement de la créativité, de la spontanéité, de l’imprévisibilité, vont plutôt s’inscrire dans des tendances routinières, au travail, en famille, dans leurs relations…, en répétant quotidiennement les mêmes faits et gestes. Cette répétition à outrance les amène à ne devenir petit à petit que l’ombre d’eux-mêmes.
Les valeurs comme buts motivationnels en hypnothérapie
Au cours d’un accompagnement en hypnose, en PNL, en coaching, il est souvent intéressant de questionner les valeurs de la personne pour qu’elle se connecte mieux à ses envies, ses buts, ses objectifs et la guider dans le sens de ce qui est véritablement important pour elle.Les implications peuvent être très nombreuses (apprendre à dire non, lever les indécisions, retrouver le goût et la motivation, apprendre à mieux se connaître, comprendre les mécanismes sous-tendus par ses valeurs…
Les besoins
Le seul fait de les identifier, sans même qu’ils soient satisfaits, peut apporter un soulagement. La première souffrance est bien souvent de ne pas savoir de quoi nous souffrons. Identifier les causes du mal être nous permet souvent de sortir de la confusion, d’aller mieux. Dans une relation, identifier ses besoins offre la possibilité de mieux communiquer, de mieux exprimer ce qui est important pour nous. Comment attendre des autres qu’ils comblent parfois nos besoins spontanément alors même que nous ne savons pas nous-même les nommer ?