Changer
Oui… mais comment ?
Combien de fois vous êtes-vous dit : “il faut que ça change” ? Combien de fois cela a t-il changé ?
Des milliers de fois probablement, et des milliers de fois les choses se sont passées conformément à vos attentes et bien souvent en dehors du champ de conscience.
Il suffit de se poser la question de savoir si nous sommes la même personne qu’il y a 10 ou 20 ans pour se rendre compte de façon évidente que nos comportements ont changé, que nos capacités ont évolué, que certaines certitudes ont changé, que le regard que nous portons sur nous-même a changé, que notre regard sur certains aspects du monde a changé.
José Colleatte
José Colleatte
Ma vision de l’hypnose
Mon code de déontologie
Séance individuelle / Couple
– 1h30 –
Hypnose
Vous habitez Bordeaux ou sa région, je vous accueille au cabinet médical du 118 au Bouscat.
Les premiers axes de changement
Généralement notre cerveau adapte certains de nos comportements, certaines de nos pensées, pour répondre au mieux au besoin d’interagir avec notre environnement. Dans l’immense majorité des cas, il y parvient plutôt bien.
Les choses se compliquent lorsque la réponse à une situation est inconfortable voire douloureuse. “J’ai peur de parler en public”, ” je ne sais pas dire non”, “je ne me sens pas à ma place”, “je me sens vide”, “je n’ai plus envie”, “je stresse”, “j’ai peur”, “je n’ose pas”, “j’angoisse”… autant de choses qui génèrent des situations de vie, des comportements, des ressentis, des émotions, des manifestations physiques désagréables.
L’hypnose, l’EMDR, sont des outils importants dans le cadre d’un accompagnement afin de se libérer des peurs inutiles, d’améliorer les comportements, de changer son regard sur le monde et sur soi-même. En séance, ces outils vont vous permettre de nettoyer, de modifier, de vous détacher de ce qui est difficile, de ce qui est à dépasser.
Gérer des comportements alimentaires, gérer son stress, gérer des émotions, faire un deuil, autant de situation de vie qu’il est possible d’appréhender différemment après une ou plusieurs séances d’hypnose.
Si l’accompagnement se déroule la plupart du temps en cabinet, permettent de sortir d’une dépression, d’un burn-out, de dépasser des angoisses ou encore des phobies, certaines approches vous appartenant vont considérablement améliorer les résultats dans ce qu’il est possible de faire hors séance.
La psychologie positive, la mindfulness, vont vous permettre d’entretenir le changement, de le faire perdurer dans le temps en continuant de nourrir vos propres facteurs de résilience.
Voici quelques clés pour qu’un changement soit aussi rapide que possible et s’installe dans le temps.
Vous êtes l’acteur de votre propre changement
Il m’arrive d’entendre : “Je veux que vous me changiez”. Si mon rôle est de vous accompagner, d’être avec vous, c’est ENSEMBLE que nous pourrons opérer les séances de la meilleure façon qui soit. Chacun, dans cet ensemble, est responsable, au sens de : “Qui est réfléchi, sérieux, qui prend en considération les conséquences de ses actes”.
Je suis responsable du cadre, des techniques, de vous accompagner du mieux que je le peux, de vous guider vers vos objectifs de séances, dans le respect, la sérénité, l’écoute.
Il arrive bien sûr que des peurs ou des doutes soient à prendre en compte lors de nos premières rencontres, et elles le seront. En tout état de cause, vous êtes en responsabilité de votre engagement, de faire les choses du mieux que vous le pouvez, de vous questionner différemment ou pas, de prendre le temps de respirer ou pas.
Peut-être vous autoriserez vous à relever le défi en prenant le temps nécessaire de choisir, de décider, ce qui est vraiment bon pour vous et peut être de vous permettre de vous “foutre la paix” (c.f. Fabrice Midal) le temps que les choses se mettent en place naturellement.
Pourquoi prendre du temps avec soi-même ?
Prendre du temps pour soi, c’est aller vers la connaissance de soi, devenir un observateur bienveillant de sa façon de faire, de sa façon d’être et de tendre vers un équilibre… des équilibres. C’est l’occasion de mieux se comprendre, de mieux observer ses besoins, ses croyances, ses valeurs, de mieux définir ce qui est déplaisant et plaisant.
Cela permet de mieux cibler les axes de travail en séance ou par vous même, d’activer des leviers de changement plus structurels, plus fondamentaux et donc plus puissants.
Combien de temps vous prenez par jour pour être avec vous, pour vous.
Vous prenez le temps de faire les choses, celles qu’on vous demande de faire, parfois même celles qu’on vous a appris à faire plus jeunes et qui finissent par s’imposer à vous comme une vérité, une obligation. Il faut faire ceci ou cela, n’est-ce pas ? Répondre aux demandes des uns et des autres, faire mieux, faire plus, faire plus fort, avoir de la volonté, ce genre de choses…
Est-ce que cela vous permet d’aller bien ? Est-ce que cela vous rend heureux, joyeux, souriant ?
Vous pouvez prendre un rendez vous quotidien avec vous-même afin de sentir les bienfaits de ces apprentissages jour après jour, et sentez-vous libre de faire tout autre chose quand vous n’en avez pas envie. Ce n’est ni bien, ni mal, ce n’est pas un drame.
Prendre du plaisir et être curieux de la façon dont vous fonctionnez, aller vers une meilleure connaissance de soi, est un des facteurs clés dans le changement et dans l’enracinement de ses changement.
Certaines personnes se rendent compte qu’elles ont pris des grandes décisions alors qu’elles étaient en vacances, sur la plage ou à la montagne, alors observateurs de leur vie dans un moment d’apaisement, de quiétude et d’éloignement, comme une parenthèse, un moment de connexion différent sur son rapport au monde et à sa propre vie.
Vous imaginez ce qui se passe et la façon dont les choses changent quand vous commencez à ouvrir ces parenthèses dans votre vie au quotidien ?
Méthodes
Des grands courant de pensées en matière d’accompagnement, de thérapie ont émergées au cours du temps.
Pourquoi ne pas observer les méthodes existantes, de prendre un peu de recul et de prendre dans chacune de ses méthodes ce qui, à l’épreuves des faits, des études, fonctionne?
Avoir une approche pragmatique, non dogmatique, visant l’efficacité, sans concession, ni a priori, ni a posteriori, envers quelques modes de pensées, d’école, ou de théorie, est la proposition la plus raisonnable me semble-t-il.
Aujourd’hui, l’EMDR, la CNV, la mindfulness, les neurosciences, l’hypnose, la psychologie positive, les thérapies systémiques, la P.N.L, l’énéagramme, la connaissance des états de dissociation, le placebo, les thérapie orientées solutions, l’analyse transactionnelle, la gestalt… sont autant d’approches toutes valables, touchant toutes des limites, se recoupant souvent, connues désormais depuis a minima 40 ans pour les plus récentes d’entre elles.
Je fonde mon accompagnement et mes propositions sur l’ensemble de ces éléments, sur l’essence, le centre de gravité de ces différentes pratiques, de ces différentes approches.
La neuroplasticité cérébrale comme vecteur de changement en hypnose
Si nous disposons tous au démarrage d’un “potentiel plastique”, certains d’entre nous, plutôt que de développer ces capacités plastiques à travers le nourrissement de la créativité, de la spontanéité, de l’imprévisibilité, vont plutôt s’inscrire dans des tendances routinières, au travail, en famille, dans leurs relations…, en répétant quotidiennement les mêmes faits et gestes. Cette répétition à outrance les amène à ne devenir petit à petit que l’ombre d’eux-mêmes.
Les valeurs comme buts motivationnels en hypnothérapie
Au cours d’un accompagnement en hypnose, en PNL, en coaching, il est souvent intéressant de questionner les valeurs de la personne pour qu’elle se connecte mieux à ses envies, ses buts, ses objectifs et la guider dans le sens de ce qui est véritablement important pour elle.Les implications peuvent être très nombreuses (apprendre à dire non, lever les indécisions, retrouver le goût et la motivation, apprendre à mieux se connaître, comprendre les mécanismes sous-tendus par ses valeurs…
Les besoins
Le seul fait de les identifier, sans même qu’ils soient satisfaits, peut apporter un soulagement. La première souffrance est bien souvent de ne pas savoir de quoi nous souffrons. Identifier les causes du mal être nous permet souvent de sortir de la confusion, d’aller mieux. Dans une relation, identifier ses besoins offre la possibilité de mieux communiquer, de mieux exprimer ce qui est important pour nous. Comment attendre des autres qu’ils comblent parfois nos besoins spontanément alors même que nous ne savons pas nous-même les nommer ?
Prendre le temps de respirer avec soi
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