L’hypnose comme aide au sevrage tabagique

10eme symposium de santé respiratoire – Nouvelle aquitaine

La Conférence Régionale de la Santé et de l’Autonomie (CRSA) est une instance de concertation et de démocratie sanitaire. Elle peut participer, par sa réflexion et ses avis, à l’élaboration et à la mise en œuvre de la politique de santé en région.

sympsium tabac bordeaux

10 ème symposium de santé respiratoire : NOUVELLES APPROCHES THÉRAPEUTIQUES Traitements, kinésithérapie, intelligence artificielle, hypnose…​

José Colleatte

José Colleatte

José Colleatte
Ma vision de l’hypnose
Mon code de déontologie

Séance individuelle / Couple

– 1h30 –

Hypnose – arrêt du tabac

Vous habitez Bordeaux ou sa région, vous souhaitez arrêter de fumer ou pour autres type de problématiques, je vous accueille au cabinet médical du 118 au Bouscat.

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L’hypnose comme aide au sevrage tabagique

José COLLEATTE, praticien en hypnose

SOMMAIRE

  • Introduction
  • Un accompagnement en 5 étapes
  • 1ere étape : Les besoins
  • 2eme étape : Les émotions
  • 3eme étape : La négociation
  • 4eme étape : Futurisation
  • 5eme étape : Désancrage
  • Conclusion
  • Questions / Réponse
  • Liste des participants

Introduction

Merci à Marik Fetouh et à Samatha Aljoobory de m’avoir proposer de participer à cet événement.

Lors de ce symposium, j’ai pu présenter l’hypnose comme aide au sevrage tabagique, face à un public de professionnel de la santé.

J’ai pris le parti de présenter une architecture possible d’accompagnement au sevrage tabagique dans le respect des besoins, des valeurs, des capacités de la personne accompagnée afin d’éviter les glissements de symptômes ou comportements compensatoires.

Un accompagnement en 5 étapes

Préalablement à la présentation des différentes étapes, je propose de pouvoir observer un certains nombres de concepts nécessaires à la compréhension de ce qui suit.

Si j’appuie bien évidemment mon accompagnement sur l’hypnose, j’utilise aussi des outils issue de l’internal family system, du voice dialog, de la thérapie des états du moi, qui proposent une multiplicité de l’esprit ou du psychisme. Les neurosciences notamment à travers ce qui est nommé des splits de mémoire tendent à valider ces modèles.

Dans le cadre du sevrage tabagique, de façon caricaturale, nous pouvons typiquement observer qu’une partie de moi  fume, et que dans le même temps, une autre partie de moi ne veut plus. Ces parties, suivant les disciplines, peuvent être nommées un état du moi, une sous personnalité, une part dissociée, un membre de l’internal family, une partie émotionnelle…

Dans le cadre des addictions, les dissociations structurelles (autre façon de proposer un fonctionnement par parties) s’inscrivent souvent dans un champ originel traumatique (ou traumatisme complexe). Il va quelque fois être nécessaire de résoudre ces mémoires traumatiques, grâce à des outils issues des thérapies sensorimotrice ou du somatic expériencing qui ramènent directement au corps.

Avant de nous consacrer plus spécifiquement au tabac et au fumeur, de se souvenir que tous nos comportements cherchent (ou ont cherché) à satisfaire un besoin. Le fait de satisfaire un besoin va engager les circuits de la récompense et permettre de retrouver un équilibre (on parle ici d’homéostasie).

Lorsque je ressens un déséquilibre ou une rupture homéostatique, va se déployer une émotion. Une émotion, il est souvent utile de le rappeler, vient du latin movere : qui me met en mouvement. Ce mouvement va être nommé comportement ou stratégie en communication non violente. Ce comportement ou cette stratégie, va chercher à satisfaire le besoin pour recréer de l’homéostasie, retrouver un équilibre.

Alors d’observer que nous ne choisirons pas tous les mêmes stratégies pour satisfaire à nos besoins. Ceci va en effet dépendre de mes valeurs (ou but motivationnel en psychologie sociale).

Pour prendre un exemple concret : S’il fait chaud, vous avez soif, vous faites rarement le choix de voler la bouteille du voisin afin de satisfaire à votre besoin de boire, non ? vous ferez probablement d’autres choix pour satisfaire à ce besoin…

Nos valeurs orientent nos choix de vie. Chacun a le sentiment que ses propres valeurs viennent de soi-même (la personne se les attribue à elle-même, a le sentiment que cela lui appartient intimement). Les valeurs guident donc nos réponses comportementales (consciemment ou inconsciemment) dans le sens de ce qui nous semble désirable, cohérent, normal.

Les besoins sont le ressenti (conscient ou inconscient) d’un manque.

Pour en savoir plus sur les besoins, je vous invite à voir :

Pour en revenir plus directement au tabac, au fumeur et à la façon d’arrêter de fumer avec l’hypnose, voici les 5 étapes que je vous propose d’aborder.

1ere étape : Les besoins / Les ancrages

Grâce à des techniques d’hypnose conversationnelle ou hypnose sans transe pour faire référence à Milton Erickson et Giorgio Nardone, il est important de commencer à sensibiliser la personne à ses propres besoins et dans le même temps de lui permettre d’observer que petit à petit, afin de satisfaire à ses besoins, la cigarette est entrée dans différents secteurs de sa vie.

Notre cerveau fonctionnant par habitude, par lien, fini par créer des associations d’idées : café / cigarette ou apéritif / cigarette par exemple. Nous parlons plus favorablement d’ancrage en hypnose, bien que les habitudes ne soient pas, en soit, des ancrages.

La plupart du temps, si je demande à un fumeur “à quoi sert encore sa cigarette aujourd’hui ?”, sa réponse est le plus souvent : “à rien”.

Pourtant si on prend bien le temps d’analyser les choses, on va rapidement s’apercevoir que quelquefois, la cigarette permet de  prendre une pause, ou paradoxalement à respirer, ou encore à se détendre.

Mais il va souvent être utile de comprendre dans quel contexte s’est déployé le comportement. Qu’a permis la cigarette au démarrage ? La plupart du temps, les personnes ont commencé à fumer pour s’autonomiser (devenir grand, s’affranchir de la pression parental…) ou s’inclure dans un groupe social.

En utilisant ensuite des techniques d’imagination active (ou hypno imaginative), peut-être de proposer à la personne de vouloir prendre du recul par rapport à la situation en lui permettant de pouvoir s’observer comme si elle se voyait de l’extérieur. La transe alors établie va permettre à la personne de percevoir sans jugement (un des effets de l’hypnose) ses propres besoins et les liens qui peuvent s’établir autour du comportement dont elle souhaite se départir.

2eme étape : Reconnecter les émotions

Se reconnecter à ses émotions.

Si chacun d’entre nous fait généralement plutôt bien l’analyse de ce qui serait bon pour lui même, il est notable que ces compréhensions sont intellectuelles. Si ces compréhensions étaient de nature à proposer des changement stables et durables, il est évident que chacun d’entre nous irait globalement plutôt bien.

C’est souvent en commençant à s’autoriser à se reconnecter à ses émotions, à les identifier, à les ressentir que certaines compréhensions vont pouvoir devenir opérationnelles ou effectives.

Une compréhension émotionnelle si j’ose dire est essentielle de mon point de vue et s’impose souvent comme un des points de démarrage dans l’accompagnement.

3eme étape : Négociation entre parties

On observe bien souvent que dans le champs des addictions, comme à d’autres endroit d’ailleurs, nous pouvons avoir la sensation que plusieurs parties de nous mêmes s’expriment. Une partie de nous veut cesser de fumer et dans le même temps une autre parti fume…

Si cette vision des choses est extrêmement réductionniste voire simpliste, elle ne demeure pas moins éclairante sur ce qui se joue en nous sous le regard souvent impuissant du sujet lui même.

Cette 3eme étape consiste donc à bien vouloir faire rencontrer ces deux parties. Il est entendu que ceci est une métaphore et que si nous faisions un pet scan à la personne nous ne trouverions pas les dites parties. Pourtant elle communique le plus souvent mal, voire violemment entre elles.

Le fait de pouvoir les faire se rencontrer permet le plus souvent d’être en contact direct avec le fait que la partie qui fume à ses propres besoins, ses propres émotions, ses propres motivations. De la même manière la partie qui veut cesser de fumer à ses propres besoins, ses propres émotions, ses propres motivations…

C’est souvent en considérant le besoin de l’un ET de l’autre que nous allons pouvoir médier ces deux parties. Dans le champs de la communication non violente, on parle de médiation, dans l’hypnose nous évoquons généralement une négociation en très partie faisant alors références aux propositions de Ernest Rossi.

Le fait de prendre en compte les deux besoins, les deux points de vue, va permettre le plus souvent de pouvoir envisager de nouveaux comportements, de nouvelles façons de penser et modifier le champs de croyances.

4eme étape : Futurisation / visualisation

Dans cette étape, nous allons proposer à la personne de pouvoir vérifier que les comportements qu’elle envisage ou qu’elle a commencé à déployer, sont en accord avec elle même.

En utilisant ce que nous nommons une ligne de temps en hypnose, nous allons permettre à la personne de pouvoir s’observer agir dans le futur en ayant adopté ces nouveaux comportements, ces nouvelles idées… En hypnose, nous parlons de futurisation a cet endroit, d’autres évoquent des visualisations, des projection vers l’avenir…

Ces techniques sont issues (entre autres choses) des “timeline thérapy” qui la plupart du temps sont utilisées dans une approche régressive. C’est le cas par exemple en ICV avec toutes les difficultés que proposent alors les parcours de vie traumatique. Dans le champs projectif (aller vers l’avenir plutôt que de vouloir revenir vers le passé) ce type de difficultés ou de risque de reviviscences traumatiques n’ont plus lieu d’être.

Cela permet à la personne et à l’accompagnant de vérifier que le changement est écologique (que toutes les parties sont en accord avec ce changement) ET de vérifier que la personne à bien les ressources pour répondre à ces nouveaux comportements.

A cet endroit il est important de se souvenir que nous ne percevons pas le monde tel qu’il est mais tel que nous croyons qu’il est. Nous rentrons en contact avec le monde avec des filtres de perception.

Le fait de se visualiser avec de nouveaux comportements, va rendre saillantes ou activer des valeurs (amour, paix, famille, partage… ). Le fait de rendre saillantes les valeurs va changer ce filtre de perception et permettre à la personne d’orienter ses comportements, d’instant en instant, vers la satisfaction de ses besoins tout en respectant ses propres valeurs.

5eme étape : Couper les liens

Pour certaines personnes, nous allons nous apercevoir qu’il reste encore des liens. “Quand je bois mon café, à l’apéritif… j’ai encore une envie de fumer qui se manifeste”.

L’hypnose et certaines techniques de PNL (Programmation neuro linguistiqe) permettent de rompre ces liens, de les rendre inactifs ou des les amoindrir.

Ce n’est donc qu’APRES avoir vérifié que la personnes à les ressources pour mettre en place les comportements qui sont de nature à satisfaire ses besoins en respectant sa propre écologie et ses valeurs qu’il devient possible de rompre ces liens sans risques de glissement de symptômes ou de mise en place de comportements compensatoires.

Combien de fois ai-je vu des personnes qui ont cessé de fumer et qui dans le même temps ont vu leurs comportements alimentaires se déréguler ou voir leur consommation d’alcool progresser de façon significative ?

Je propose donc que nous évitions autant que faire ce peut ce type de réponse de nos clients.

Conclusion

Si la structure d’accompagnement précédente est une des structures possible pour un arrêt du tabac avec l’hypnose, nous allons nous rendre compte que quelques séances peuvent suffire. Si certaines personnes cessent de fumer en 1 ou 2 séances, pour d’autrees, il va en être tout autrement. Tout va dépendre du parcours de vie de la personne et de ce qui se joue pour elle dans le fait de se départir du tabac.

Nous percevons sans difficultés qu’une personne qui vient en se disant fumeur, ne va pas toujours engager le même travail qu’avec une personne qui fume. Dans un cas c’est un travail identitaire, dans l’autre c’est un travail sur le comportement.

Certaines personnes vont rencontrer des difficultés à même accepter l’idée qu’elles peuvent satisfaire à leurs propres besoins. D’autres pourraient rencontrer des difficultés dans la reconnections de leurs émotions ou l’impossibilité de se saisir de leurs ressources (ou capacités).

Il est probablement utile de rappeler que là ou elle est règlementée, l’hypnose s’inscrit dans le champs des thérapies brèves. Au regard de ce que je viens d’exposer, il doit être plus clair que l’hypnose n’est pas une thérapie instantanée, ni magique.

L’accompagnement va engager la personne dans son parcours. Il s’agit donc d’une démarche pro-active.

Pourquoi est-ce que j’insiste sur ce point ?

Parce qu’il ne viendrait pas à l’esprit d’une personne en burn-out ou d’une personne emprisonnée dans ses comportements alimentaires, de vouloir dépasser ses problèmes en une et une seule séance.

Dans le cas du tabac, nous voyons souvent, ici ou là, des propositions qui voudrait qu’il soit toujours possible de s’arrêter en une seule séance.

Il faut bien comprendre que les personne que je reçois en cabinet à bordeaux, ont souvent essayés d’arrêter de fumer et son retombées dans leurs travers.

Ces personnes ont souvent une image d’elle même relativement dégradée, et on ne se rend pas toujours compte de comment leur environnement a pu faire violence.

Des amis, des parents, des enfants mais aussi le corps médical ou des accompagnants on pu proposer des phrases comme :

  • Fais un effort
  • Tu devrais arrêter de fumer
  • Ce n’est pas bon pour votre santé, un peu de volonté…

En creux, on explique à cette personne que se serait simple d’arrêter de fumer, renforçant dans le même temps son sentiment d’impuissance et dégradant encore et encore l’image qu’elle a d’elle même.

Nous allons souvent retrouver cette violence dans le champs de l’accompagnement. Certaines personnes arrivent avec l’idée qu’elle vont fermer les yeux, que je vais faire mon truc, et qu’elle vont repartir tranquillement chez elle sans ne plus jamais fumer lors de cette séance. Au point que je connais aujourd’hui beaucoup d’hypnologues , ou praticiens en hypnose, qui cessent tout simplement d’accompagner des personnes désireuses d’arrêter de fumer.

Aussi que se soi pour moi, mais aussi pour mes confrères et bien sur pour la personne elle même, peut-être de bien vouloir lui faire savoir, si vous désirez adresser quelqu’un vers un cabinet d’hypnose, que le travail à accomplir va devoir quelquefois s’inscrire dans la durée.

Questions / réponses

Quel est le taux de réussite avec l’hypnose dans le champ du sevrage tabagique ?

Pour répondre à cette question, il faudrait d’abord pouvoir définir ce qu’est une réussite. Comme je l’ai évoqué précédemment, est-ce qu’on pourrais dire d’une personne qui a cessé de fumer et qui dans le même temps a pris 30 kilos et développé un diabète que se serait une réussite ? je n’ai pas de réponse à cet endroit, il faudrait demander aux médecins présent dans cette salle.

Il faudrait également se poser la question de l’échéance à laquelle il faudrait valider cette réussite ? de mon point de vue, 6 mois ou 1 an après la dernière séance pour vérifier avec la personne que son processus de changement s’est bien établi dan le temps et qu’elle n’est pas en lutte permanente pour ne pas reprendre le tabac.

En la matière, beaucoup de gens affirme beaucoup de choses, et il serait utile de se poser la question de quand est réaliser le sondage de satisfaction ou des chiffres qui sont affichés. Si je demande aux personnes à la fin de la séance, l’immense majorité d’entre eux font faire savoir qu’ils sont satisfaits. Si nous voulions être honnête il faudrait donc poser la question beaucoup plus tard.

Personnellement, j’envoie des questionnaires de satisfaction 3 mois après la dernière séance et les retour sont quasiment tous positifs. Cela ne présage pas des autres ni dans un sens ni dans l’autre puisque certaines personnes qui n’ont pas répondu m’adresse leurs enfants, leurs parents ou leurs conjoints, il semblerait donc qu’il ont été satisfaits.

Je ne pourrais raisonnablement pas donner de chiffres. Il faudrait pour cela entamer une étude au long cours pour vérifier ce qui se passe vraiment pour ces personnes.

Certaines personnes sont t-elles plus réceptives que d’autre à l’hypnose, sommes nous tous hypnotisable ?

Oui bien sur nous sommes tous hypnotisables, nous ne pourrions pas apprendre sinon. Les phénomènes d’apprentissages font référence à la suggestibilité, donc oui nous sommes tous hypnotisables.

Cependant il va se poser la question de comment ? Il suffit pour cela de comprendre que nous n’aimons pas toujours les mêmes films et que nous ne sommes pas sensibles aux même choses. Le travail de l’hypnologue va précisément consister à voir comment créer de la confiance et de voir comment proposer ce qui va faire écho chez la personne pour lui proposer ce qui lui convient.

Il est donc essentiel de comprendre ses propres limites en tant qu’accompagnant puisque le rapport établie entre le sujet et l’accompagnant va être essentiel. Je ne travaille pas avec les psychotiques qui relèvent clairement du seul champ de la médecine et, si je n’ai pas de difficulté à travailler avec tout le monde, j’ai fait le choix de ne pas travailler avec les enfants et les personnes en déficit cognitif, ce qui me demande trop d’effort d’adaptation.

Cela ne présuppose rien quand à ces personnes puisque j’ai un ami qui travaille justement avec ce type de population et qui obtient des résultats plus que satisfaisant.

Liste des participants au symposium

Samedi 8 octobre 2022 à Pessac

COMMUNICATIONS

Que nous apprend la cohorte Palomb sur les BPCO ? – Dr Laurent NGUYEN, pneumologue

Les nouveaux traitements dans la mucoviscidose – Dr Stéphanie BUI, pneumopédiatre

La réhabilitation des BPCO sévères sous VNI – Dr Léo GRASSION, pneumologue

Bronchiolite : quel bilan des recommandations de la HAS deux ans après ? Le rôle du kinésithérapeute – Audrey JULLION et Marik FETOUH, kinésithérapeutes

Les nouveaux traitements dans le cancer du poumon – Dr Rémi VEILLON, oncologue

Interprétation de la fonction pulmonaire par Intelligence Artificielle – Dr Fabien BEAUFILS, pneumopédiatre

Le corps étranger inhalé – Dr Céline CHARASSE, pneumopédiatre

REGARDS CROISÉS MÉDECIN / KINÉ

Quelle prise en charge pour le Covid long ?

De l’infection aux séquelles : quels mécanismes ? – Pr France ROBLOT, infectiologue

Du syndrome d’hyperventilation aux séquelles fibrosantes – Dr Elodie BLANCHARD, pneumologue

Apport de la kinésithérapie – Benoit BOUTELEUX, kinésithérapeute

Le retentissement psychologique : anxiété et stress post-traumatique – Dr Samantha AL JOBOORY, psychiatre

L’organisation des soins ambulatoires – Jean-Luc PEFFERKORN, directeur DAC de la Vienne, Secrétaire général FéDAC

La BPCO : nouvelles approches thérapeutiques et qualité de vie

La trithérapie dans la BPCO – Dr Etienne-Marie JUTANT, pneumologue

L’hypnose comme aide au sevrage tabagique José COLLEATTE, – praticien en hypnose

BPCO et sommeil : le syndrome de chevauchement – Pr Wojciech TRZEPIZUR, pneumologue

Oxygène et réhabilitation respiratoire : pour quoi ? comment ? – Mathieu DELORME, kinésithérapeute

Sexe et BPCO – Dr Lionel LE GUAY, pneumologue

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